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Tchao Tchao's blog!
2 octobre 2010

Une journée à Panama City / Una jornada en Panamá City

Une journée à Panama City

 

Nous avons décidé de vous faire vivre une de nos folles escapades adorées ( !) à Panama City. Accrochez les ceintures, c’est parti !

 

Le frigo et les coffres sous le salon du carré font la triste mine… il faut faire le plein et cette fois, nous avons choisi l’option voiture pour rallier la grande ville. En effet, nous allons avoir pas mal de choses à rapporter de la capitale, et en bus… ben… pas vraiment aisé tout ça.

 

Ça s’organise donc la veille du départ, histoire de s’assurer que la voiture que nous allons louer à une états-unienne, installée depuis des années avec sa mère à Puerto Lindo, est bien libre. Ces femmes sont arrivées ici en voilier elles ne savent plus bien quand et y sont restées, achetant une maison dans le village, et vivant de divers petits négoces ou services : laverie, location de leur 4x4, location internet à l’heure… leur voilier flotte toujours dans la baie, et en contrepartie de quelques travaux à son bord, Tad a pu négocier la voiture de temps à autre, ce qui nous rend bien service.

 

Sarah nous a confirmé que la voiture est disponible, nous allons donc pouvoir partir demain matin aux aurores, car il y a quand même deux heures de route en voiture (contre au moins trois heures en autobus).

 

Au dodo avec les poules, le réveil nous sort du sommeil à cinq heures et demie. La cafetière toussote, le thé déthéiné infuse, les tranches de pain maison brunissent dans la poêle sous haute surveillance (ah la la, quelle belle chose que le grille-pain électrique qui éjecte tout seul les tartines au degré de bronzage souhaité !), les douches sont brèves et seront plus complètes ce soir au retour, après une journée dans la moiteur et les vapeurs de la ville.

 

Dernier contrôle : plan de Panama City, sacs pour les courses, poches à produits surgelés, alternateur qu’il faut réparer, mesures pour les écoutes du génois, poubelles à descendre, passeports et permis de conduire (pour les nombreux contrôles sur la route), tout y est ! Fermer l’eau, le gaz, les hublots, tout y est !

 

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Nous traversons la baie encore toute endormie et à peine ensoleillée pour rejoindre le petit débarcadère de nos amis Hans et Edina. Là nous laisserons le dinghy pour la journée et tandis que je sèche mes pieds et enfile mes chaussures, Tad file vers la maison de Sarah pour prendre la voiture. Jules m’a rejoint, un ami qui a son moteur en panne et qui profite de notre voiture pour l’apporter à la ville, en espérant qu’on puisse le lui réparer. Quelques minutes plus tard, nous sommes tous les trois en voiture, il est sept heures, nous sommes dans les temps.

 

La route vers Panama City se découpe en cinq étapes : de Puerto Lindo à la petite ville de Portobelo, dans les terres par la campagne. De Portobelo à Maria Chiquita, en bord de mer, un émerveillement renouvelé à chaque passage. De Maria Chiquita à Sabanitas, par l’intérieur et les faubourgs de la ville moyenne de Sabanitas. De Sabanitas à Paraíso, par l’autoroute et son péage. De Paraíso à Panama City, par la forêt en longeant le fameux canal. En tout, deux heures à travers de fabuleux paysages, un peu moins drôle et surtout plus long sous les pluies tropicales qui s’abattent en cette saison encore sur la région.

 

Faut-il vous parler des panaméens au volant ? Tout un poème… mais heureusement, ils doivent avoir des anges gardiens très efficaces… et nous aussi ! Maman, je t’assure que Papa conduit très très bien, qu’il n’y a aucune raison que tu aies mal au ventre ou que tu sois crispée en voiture, vraiment aucune !! Ici, on se surprend souvent à serrer les dents, les fesses et tout ce qu’on peut et finalement, ouf, c’est encore passé… et le clou du clou, ce sont les chauffeurs de bus qui se croient sur le circuit des 24 heures du Mans en permanence !

 

Réfléchissons vite et bien. Les courses, pour la fin, évidemment, si nous ne voulons pas que le beurre soit changé en huile à notre retour. Et n’oublions pas le dentiste en début d’après-midi pour Tad. Nous commencerons par le moteur de notre ami qu’il faut emporter à l’autre bout de la ville, plus d’une heure de trajet dans les bouchons et klaxons habituels. Nous nous assurons que le mécanicien (que nous connaissons malheureusement très bien, et pour cause…) peut aider notre ami et une fois la chose entendue, nous les laissons pour vaquer à nos occupations. En revenant vers le centre par ici et par là, on se rapproche du magasin pour les bouts… et oh bonheur ! nous y trouvons nos écoutes. Vite ! il va être midi et il faut encore passer déposer l’alternateur chez le réparateur, sinon, nous ne l’aurons jamais prêt pour ce soir. Grâce à la dextérité de Tad au volant et à la qualité de guidage non négligeable du copilote qui commence à bien connaître la ville, le contrat est rempli avant midi.

 

Comme d’habitude, nous avons l’impression de n’avoir pas fait grand-chose si ce n’est avalé des kilomètres et les gaz des pots d’échappement et pourtant, la matinée s’est déjà envolée. Nous allons vite déjeuner avant que ce ne soit l’heure du dentiste. Une soupe typique servie partout qu’ils appellent le Sancocho, un bouillon de poulet avec des morceaux viande, de maïs, de manioc, de banane plantain, du riz et des oignons. Un grand bol de soupe avec une assiette de riz blanc (mais plutôt rond) vous rassasie pour la modique somme de trois dollars, voire moins, l’équivalent de 2,20 de vos Euros-péens.

 

Le café, ça sera pour une autre fois, pas le temps ! En route pour le dentiste, puis récupérer l’alternateur réparé et enfin les courses dans un supermarché qui a des produits que l’on ne trouve pas ailleurs style beurre, crème fraîche, moutarde « Tricot » pour ne faire de pub à personne !, cornichons, bons fromages, jambons potables, filets mignons palerons et autres morceaux de choix, pâtés « Et paff » (toujours pour ne faire de pub à personne. Incroyable, ils sont partout…), courgettes, semoule à couscous, harissa… ceci pour les principaux ingrédients qui nous font défaut dans les supermarchés habituels et que l’on aime s’offrir de temps en temps.

 

Il est déjà presque quatre heures et demie, nous sommes à la caisse… quel est ce bruit assourdissant et soudain ?! Ben voyons, ça nous avait manqué, un bon déluge au moment de charger toutes les courses dans la voiture, quoi de mieux pour se rafraîchir? Ah, n’oublions pas de demander à la caissière des cartes de recharge pour nos téléphones respectifs et notre connexion internet. Et quoi d’autre… hmmm… une mini-tablette de chocolat qui sera dévorée immédiatement, avant qu’elle ne se liquéfie dans son papier aluminium… hmmm… récompense…

 

Ne trainons pas, sinon nous allons encore devoir faire le dernier quart du trajet retour dans la nuit, décharger tous nos paquets de la voiture au dinghy dans la nuit et sous la pluie battante, aller rendre la voiture à sa propriétaire toujours sous la pluie, traverser la baie qui nous semblait si accueillante ce matin avec la tête dans les épaules, les gouttes de pluie ruisselant devant nos yeux, essayant d’éviter dans la nuit noire les corps-morts¹ non signalisés sur notre chemin, décharger le dinghy, ouvrir le bateau et remplir le carré avec nos sacs dégoulinant d’eau (oui, mais douce, restons positifs !). Mettre des habits secs, commencer à estiver² les vivres dans la cambuse³ après les avoir essuyés un à un, et s’asseoir… Ouf ! Quelle paix soudain, même la pluie semble cesser maintenant… on aère le bateau, on se prépare un petit dîner simple et bon, on s’installe dans la baignoire⁴, on souffle…

 

Le lendemain, les compagnons de fortune des autres bateaux mouillés dans la baie nous demanderont avec un petit sourire en coin : Alors ? C’était bien à la ville, non, comme d’hab ?! Et nous, avec un autre sourire en coin : Ben oui, génial quoi ! Nous savons pourquoi nous sommes là, et pas en ville… pourquoi nous sommes là, et pas à terre… la seule pensée qui nous hante alors, c’est :

« Pourvu que nous n’ayons rien oublié en faisant les courses !!!!! »

 

 

Le Grand Robert de la langue française vous explique,

 

corps-morts¹ : Mar. Ancre, dispositif de mouillage attaché à un poste fixe.  S'amarrer à un corps-mort.

estiver² : Mar. Comprimer (des marchandises d'un grand volume) afin qu'elles tiennent moins de place.

cambuse³ : Mar. Magasin du bord où sont conservés et distribués les vivres, les provisions. Tenir la cambuse.

baignoire⁴ : Mar. Baignoire d'un yacht. Cockpit. — (1940).

“Paseando” por Panamá City

 

Hemos decidido haceros vivir una de nuestras tan apreciadas escapadas a Panamá City. ¡Abróchense los cinturones que ahí vamos!

 

La nevera y los cofres vacíos ponen mala cara… tenemos que llenarlos y esta vez hemos elegido la opción coche para llegar a la gran ciudad. Tendremos que traer muchas cosas de la capital y eso, en bus, no sería muy fácil…

 

Así pues todo esto se organiza el día antes, entre otras cosas para asegurarnos que el coche que vamos a alquilarle a una gringa instalada en Puerto Lindo con su madre desde hace años está disponible. Estas dos gringas, madre e hija, llegaron hasta aquí en un velero ya ni saben muy bien cuando y se quedaron. Se compraron un terreno en el pueblo, construyeron una casa y viven desde entonces de pequeños negocios y servicios que ofrecen a los yatistas: lavandería, alquiler de la camioneta 4x4, conexión por horas a Internet… Su velero sigue a flote en la bahía y, a cambio de algunos trabajos a su bordo, Tad puede negociar de vez en cuando el vehículo a buen precio, lo cual nos saca de apuros.

 

Sarah nos confirma que la camioneta está disponible. Partiremos mañana con el alba, muy temprano, pues hasta Ciudad de Panamá por carretera hay dos horas en coche, contra tres al menos en autobús.

 

Nos acostamos pronto; el despertador nos saca del sueño a las cinco y media de la mañana. La cafetera italiana tose estornudando su café, en la tetera reposa la infusión de té sin teína, las rodajas de pan recién hecho se tuestan en el sartén bajo fuerte vigilancia (¡qué invento ese, el de la tostadora eléctrica, que eyecta automáticamente las tostadas cuando alcanzan el tueste deseado!), las duchas breves, ya serán más completas esta noche, de vuelta a bordo tras una jornada entera sumergidos en los húmedos y contaminados vapores de la congestionada ciudad.

 

Último control: el mapa de Ciudad de Panamá, las bolsas para la compra, las especiales para los productos congelados, el alternador que hay que mandar a reparar, las medidas para las escotas nuevas del génoa, las bolsas de basura a desembarcar, los pasaportes y permisos de conducir (por todos los controles que hay en la carretera), no olvidamos nada, lo tenemos todo. Desconectar la bomba de agua, cerrar el gas, las escotillas, el tambucho de acceso, ¡ya está! 

 

 Atravesamos la bahía de Puerto Lindo todavía dormida con los primeros rayos oblicuos del sol del amanecer y recalamos en el embarcadero de nuestros amigos Edina y Hans. Ahí dejaremos amarrado el chinchorro por el día y, mientras que yo me seco los pies y me calzo, Tad se dirige a casa de Sarah para traer el coche. Entretanto se acerca Jules, un joven amigo cuyo motor dejó de funcionar y que, desmontado, llevaremos a la ciudad para ver si se lo pueden arreglar. Apenas unos minutos más tarde estamos todos a bordo del carro rumbo a la capital. Ya son las siete de la mañana, pero todavía vamos bien…

 

La ruta hacia Ciudad de Panamá se divide en cinco partes: de Puerto Lindo al histórico Portobelo por el interior, entre ranchos y alquerías. De Portobelo a María Chiquita la carretera va por la costa, la constante sorpresa de un paisaje de ensueño renovada a cada curva. De María Chiquita a Sabanitas otra vez por el interior, aunque con algunas vistas al mar, pero las casitas bajas amontonadas anunciándonos ya los arrabales de la pequeña ciudad de Sabanitas. De Sabanitas a Paraíso por la autopista de peaje transístmica. Y de Paraíso a Ciudad de Panamá siguiendo el famoso canal por entre frondosos bosques tropicales. En total dos horas de viaje a través de paisajes fabulosos, algo menos divertido y sobre todo más largo bajo las fuertes lluvias tropicales que se abaten todavía en esta época sobre la región.

 

¿Hace falta describiros a los panameñ@s al volante? Es todo un poema…, pero deben de tener unos ángeles guardianes especialmente eficaces…, ¡y nosotros también! Mamá, te aseguro que papá conduce muy muy muy bien, que no hay ninguna razón para que se te entornille el estómago o que te sientas nerviosa en el coche, ¡verdaderamente ninguna! Aquí nos sorprendemos a menudo apretando cachete, tensando las nalgas y todo lo demás…, para finalmente - ¡uf! –, justito, justito, pero hemos vuelto a pasar… ¡El colmo de los colmos son los conductores de bus que se creen que están en el circuito de Le Mans corriendo las famosas 24 horas…!

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Ahora hay que pensar rápido y bien. Las compras a lo último, evidentemente, si no queremos que la mantequilla sea aceite líquido a nuestro regreso. Y no olvidemos la cita con el dentista de Tad a primera hora de la tarde. Empezaremos por el motor de nuestro joven amigo Jules que hay que llevar al otro extremo de la ciudad capital, más de una hora de trayecto entre los atascos y bocinazos habituales. Nos aseguramos que el mecánico – que desgraciadamente conocemos bien, ¡y con razón! – puede ayudar a nuestro amigo y los dejamos allí juntos mirando con cara de interrogación el motor inútil a sus pies. Volviendo hacia el centro entre atascos y bocinazos conseguimos dar con la tienda en donde nos dijeron que encontraríamos los cabos que necesitamos y, ¡oh suerte! encontramos nuestras escotas. ¡Rápido! ¡Que ya van a dar las doce del mediodía y todavía tenemos que pasar a dejar el alternador al taller, que si no, no lo tendremos listo para esta tarde! Gracias a la habilidad de Tad al volante y la calidad de guía de la experta copiloto que comienza a conocer bastante bien la ciudad y sus trucos, la misión se cumple justo antes del mediodía.

 

Como siempre, tenemos la impresión de no haber hecho todavía gran cosa, aparte de haber chupado kilómetros de rueda y respirado los gases de escape de todos los coches del mundo, y sin embargo la mañana ya se fue. Nos vamos rápido a buscar algo de comer antes de que den la hora del dentista. Una sopa típica que sirven en cualquier sitio y que llaman sancocho, un caldo de gallina con trozos de carne, maíz, yuca, plátano verde, arroz y cebolla. Un gran bol de sopa y un plato de arroz blanco os llena la barriga por la módica suma de tres dólares, ver menos, el equivalente de 2,20 de vuestros Euro-péos…

 

El café será para otra vez, ahora no hay tiempo. Primero el dentista, después recuperar el alternador reparado y, finalmente, las compras en un supermercado que tiene productos que no encontramos en otras partes, como por ejemplo mantequilla, nata, mostaza “Tricot” (para no hacerle publicidad a nadie), pepinillos en vinagre, buenos quesos, jamón, solomillo, paletilla y otras viandas, patés “Et paff” (para seguir con nuestra política de no hacerle publicidad a nadie…, increíble, están por todas partes…), calabacines, sémola de cuscús, ají picante…, esto por los principales ingredientes que echamos de menos en nuestros supermercados habituales y que sin embargo nos gusta degustar de vez en cuando.

 

Ya son casi las cuatro y media, estamos haciendo cola ante las cajeras…, pero ¿qué diablos es ese ruido ensordecedor de repente? ¡Vaya! ¡Lo que nos hacía falta ahora! Un buen diluvio en el momento de cargar las compras en el coche, ¿qué mejor para refrescarse de tanto calor y tanta sudada? ¡Ah! ¡Y no olvidemos de pedirle a la cajera unas tarjetas de recarga para nuestros respectivos teléfonos móviles y nuestra conexión Internet! ¿Y qué más? Hummm… Una mini tableta de chocolate que será devorada inmediatamente, cosa que no se vaya a fundir en su envoltorio de aluminio… ¡Hum! ¡Deliciosa recompensa!

 

No nos entretengamos mucho que si no tendremos que hacer la última parte del camino de regreso en la oscuridad, descargar todas nuestras compras desde el coche al chinchorro en la oscuridad y bajo una lluvia que cae como chuzos del cielo, ir a devolverle el coche a la gringa de noche y bajo la lluvia, cruzar esa bahía que nos resultaba tan acogedora esta mañana con la cabeza escondida bajo el brazo, la lluvia cerrándonos los párpados, intentando evitar en la noche cerrada los muertos no señalados en nuestro camino, descargar el chinchorro, abrir el barco y llenar el salón con nuestras bolsas empapadas (de agua dulce, ¡seamos positivos!). Ponerse ropa seca, empezar a estibar los víveres en sus cofres después de haberlos secado uno a uno… y, por fin, ¡sentarse! ¡Uf! ¡Qué paz, qué descanso de repente! ¡Hasta la lluvia parece ahora detenerse! Abrimos escotillas, aireamos el barco, preparamos una cena sencilla pero rica, nos instalamos en la bañera, cenamos, respiramos….

 

Al día siguiente nuestros colegas de los otros barcos fondeados en la bahía nos preguntarán con apenas media sonrisa dibujada en la comisura de los labios: “¿Entonces? ¿Qué tal la gran ciudad? ¿Cómo siempre, no?” Y nosotros, con otra media sonrisa apenas dibujada en la comisura de los labios: “¡Pues claro! ¡Genial!” Y nos damos cuenta que sabemos por qué estamos aquí y no en la ciudad, por qué estamos aquí, a bordo, y no en tierra… Entonces descubrimos que la única duda que nos habita podría manifestarse así: “¡Ojalá que no nos hayamos olvidado de comprar nada!”


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Commentaires
L
Bah c'est dingue ! Ici, il fait sec, chaud et beau... Bon OK, ça reste un gros coup de bol de cette semaine et, alors que les affaires d'été commençaient doucement leur hibernations, celles qui prenaient du retard dans leur endormissement ont été réveillées en douceur pour une dernière tournée. Mais "rassurez-vous" !! La revanche automnale attend le meilleur moment pour arriver en force dans son manteau de brouillard blanc et son vent glacial, et va nous faire rallumer les cheminées et ressortir les écharpes et autres chandails. La pluie douce chez vous risque de l'être moins au Lux. Ce sont le charme des saisons, qui rythment notre couleur de peau en même temps que notre humeur !<br /> Grosses bises à tous les 2 !<br /> Marie et Lolo
T
Pour votre prochain ravitaillement... nous nous portons volontaire !!!<br /> <br /> En tout cas un grand merci pour ce nouvel article... comme d'habitude nous prenons beaucoup de plaisir à vous lire... nous avons l'impression de vous avoir tout près de nous !!!<br /> <br /> Gros gros bisous
F
Salut !<br /> Eh bien, tu n'as rien perdu de ton talent de narratrice. Tu nous captive, on fait partie du récit. Et finalement, sous nos contrées plus septentrionales, on a l'impression de bien connaitre le rush de ces journées dédiées aux courses en tout genre.<br /> En tout cas, merci pour cette nouvelle page de vos aventures.<br /> A bientot<br /> Fred
S
C'était pas MuTad qui écrivait mais bien serge et josy. Erreur d'adressage!!!!
M
Nous venons de prendre connaissance rapidement de votre récit de voyage à Panama City?<br /> Merci pour cette balade avec vous.<br /> Nous y reviendrons tranquillement pour apprécier avec l'aide du reportage photographique.<br /> <br /> Hasta luego, chicos queridos. Con mil abrazos
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